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Source : CNIL
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Notre belle planète ne tourne décidément plus rond depuis que l’économie capitaliste est parvenue à échapper à tout contrôle politique, s’ouvrant des perspectives de profits inédites et scandaleuses.
La machine infernale est née dans les 70’s et n’a fait depuis qu’embellir en efficacité, aux mains de nababs sans scrupules dont la voracité croit avec le volume de leur coffre-fort. Inversement, la conscience des dégâts occasionnés par cette prédation semble avoir disparu du paysage ! Nous sommes donc confrontés à un système implacable, mécanique, aux attendus incontestables et inhumains, qui ne respecte même plus les créateurs de valeurs que nous sommes, dans une fuite en avant qui est la négation même du capitalisme dans son fonctionnement, dirons-nous, normal. Nous observons depuis quelques années à la montée en puissance d’un phénomène concomitant qui n’est pas anodin et vient renforcer la pression sur les populations et les travailleurs : la dérive autoritaire des gouvernements d’une quantité de plus en plus large de pays. En effet, les conséquences sociales dramatiques de la mise en coupe réglée des sociétés humaines sont préjudiciables à leur cohésion, le système monte les gens les uns contre les autres, la recherche de boucs émissaires devient un sport olympique, la peur de l’autre engendre un recul inouïe des libertés fondamentales si chèrement acquises. Et petit à petit, renonçant à la liberté au profit d’une sécurité fantasmée, on en appelle à des pouvoirs autoritaires promettant la Lune et le retour à « avant », car c’était mieux. On voit surgir des nostalgies douteuses et oublieuses de l’histoire récente, ce dont profitent les populistes habiles à caresser les gens dans le sens du poil. D’où floraison d’autocrates dans des endroits inattendus, dont le culot rétrograde se nourrit du spectacle de leurs semblables au point de constituer à présent une véritable Organisation des Nations Unies Autocrates, celle qu’on a dernièrement vu parader à Pékin et qui agrège de nombreux pays lassés de l’horreur économique néolibérale, quitte à sombrer dans la dictature quelle qu’en soit la couleur ! Et aussi dans la contradiction la plus insensée car ce fameux système économique s’accommode parfaitement des pouvoirs forts, avides de corruption et de richesses, partageant avec eux le mépris des peuples et le verrouillage des situations incertaines menaçant domination et profits. Plus encore, les grands nababs, dirigeants de multinationales à la puissance supérieure à bien des états, que rien ne semble pouvoir arrêter, sont emblématiques de la même loi du plus fort que celle imposée par les autocrates. Ces gens se rejoignent par leurs modes d’action et leur capacité de nuisance, ils agissent sur les mêmes victimes qui n’en peuvent plus et qui n’ont guère de recours pour se rebiffer tant l’individualisme est parvenu à atomiser toute action collective efficace. Au point où nous en sommes, il semble que la simple idée d’un contrôle politique et démocratique du capitalisme, relève de l’utopie avant qu’elle devienne à force d’anathèmes, le plus court chemin vers, au mieux, le camp de rééducation ! Je pense même que c’est un non-sujet pour nos propres politiciens professionnels tant ils sont imprégnés de cette idéologie mortifère qui dérive en rampant vers le fascisme. Participer à des manifestations pour défendre des acquis menacés ou des exigences catégorielles me semble assez vain face à des pouvoirs méprisants. Pour moi, une opposition constructive consisterait à focaliser les revendications uniquement autour de la modification de la loi électorale en vue de ressusciter le courage politique ainsi que sur le contrôle démocratique du capitalisme pour garantir l’équité entre les citoyens. Histoire de reconstruire la cohésion sociale indispensable à tout progrès. |
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AlternativeS DémocratiqueS 2011-2025
