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Source : CNIL
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Notre pays - ou du moins à ce qu’en disent ses médias toutes catégories - est secoué par des incidents allant croissant dans la gravité et les conséquences. Je parle de djihadisation, de mexicanisation ! Et du mélange des deux. Je parle du foutoir né de l’abandon des quartiers dits populaires par la République.
Comme la nature a horreur du vide et que toute structure nécessite de l’énergie pour se maintenir, la place abandonnée a vite été prise par tout un tas d’énergumènes aux desseins contraires à nos lois et à nos usages, empoisonnant au passage une population besogneuse, indispensable au fonctionnement de notre société, déjà fort maltraitée par la distribution délirante des plus-values qu’elle crée, au profit, - beaucoup - de certains et trop peu de tous. Tout le monde, dans l’univers des politiciens comme dans l’esprit de la population, a son idée sur le sujet. Une idée biaisée par le point de vue d’où on considère les choses, au point que l’objectivité indispensable à la compréhension de la situation fait défaut au profit d’idées reçues, préjugés et autres a priori propres à chaque groupe et sous-groupes sociaux. Pourtant, notre pays dispose d’un institut national de la statistique (INSEE) réputé et respecté pour la qualité de ses travaux, qui pourrait mettre en lumière de la manière la plus irréfutable et acceptée de tous, la situation sociale réelle de nos villes et villages. Eh bien non. Parce que l’idéologie infantilisante et parfaitement faux-cul qui caractérise nos modes de gouvernement, l’interdit. Il ne faut surtout pas dire les choses pour ne vexer ou blesser personne. On ménage les individus et leurs origines alors que c’est la société qui est malade de ne pas savoir ce qu’elle a. Et qui se tourne vers les hordes de charlatans et d’opportunistes en embuscade pour brouiller encore plus les pistes de compréhension. Acceptons la mise en place de statistiques tenant compte des origines pour enfin voir plus clair dans ce qui se trame et dépasser les filtres imposés par des lectures partisanes et manipulatrices. Notre autocensure est un peu une exception parmi les pays développés. Mathématiquement, il est impossible de résoudre un problème dont l’énoncé est incomplet. Tous les paramètres étant énoncés correctement, on peut travailler efficacement. Sauf à ne pas vouloir que la réalité ne vienne contredire des a priori allant bizarrement tous dans le même sens et confortant les politiques de répression au détriment de l’éducation et du soutien aux plus faibles. Prenons notre courage à deux mains, il y aura des levées de boucliers qui auront l’avantage de trahir les forces contraires, simples épiphénomènes face à une vision enfin objective de notre société. On s’apercevrait ainsi qu’il n’y a pas que des arabes en prison, que les manouches ne sont pas tous des voleurs, que les gaulois ne fuient pas tous les travaux harassants et indispensables tout en détestant ceux qui les font à leur place, que nos usines, hôpitaux, EHPAD ne fonctionneraient pas sans étrangers, qu’il n’y a plus que des femmes dans les écoles, qu’un nombre inacceptable de gamins de toutes origines ont fui la classe où ils s’emm… pour une brillante carrière de délinquant faute d’alternatives, que les profs des quartiers sont tous des débutants mal armés contre ce qui les attend, que beaucoup de soldats prêts à se faire tuer pour nous viennent du bout du monde, que les riches restent entre riches, idem pour les pauvres, que les flics sont multicolores et dévoués, etc. J’en passe ! J’admets volontiers qu’il peut y avoir des idées reçues dans cette liste. Je serais enchanté qu’elles soient balayées par des chiffres fiables et des commentaires pertinents. Qu’attendons-nous pour permettre à nos excellents chercheurs de nous tendre un tableau objectif de notre société. Nous pourrions reprendre confiance en nos élus qui s’appuieraient enfin sur du solide pour construire leurs programmes électoraux, ça nous changerait du déballage de fantasmes habituel. J’avais déjà évoqué ce sujet il y a belle lurette, mais rien. Nos gouvernants n’ont visiblement pas envie de se voir couper les branches sur lesquelles ils sont assis, affirmations biaisées, fake-news et autres mensonges difficiles à vérifier vus d’en bas. Où la vision idéologique l’emporte sur la réalité observée. |
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