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Source : CNIL

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SUJET : L'exclusion comme système social

L'exclusion comme système social 12 Jui 2021 08:47 #2197

La fréquentation assidue des médias d’information, généralistes ou spécialisés, qui s’impose lorsqu’on veut comprendre comment fonctionne le monde, n’est pas un exercice de tout repos. On y trouve tout et son contraire à coup sûr, on doit s’échiner à démêler le vrai du faux avec les quelques outils offerts par notre éducation et notre bon sens naturel, on doit se forcer à prendre suffisamment de recul pour discerner les grandes tendances animant les flux d’événements.
En ce moment, l’une d’entre elles m’inquiète en proportion de l’importance croissante de son impact sur les relations humaines et le progrès des savoirs : l’introduction dans ces domaines d’un processus comptable très politiquement correct au sens de l’idéologie dominante, qui tend à imposer des quotas de genre et d’origine autoproclamés en toutes activités, même les plus éloignées des marécages polémiques ou des jungles idéologiques.
Ce courant érigeant l’exclusion et l’interdit en système d’organisation sociale est né dans les esprits tordus de soi-disant spécialistes de l’interprétation de l’histoire du monde à l’aune de ceux qui n’ont pas pu peser sur elle.
Vengeurs, sûrs de leur bon droit après avoir constaté que l’histoire a été faite des actes commis par ceux que les structures sociales du lieu et du moment plaçaient en position dominante (l’histoire est faite par les vainqueurs), entendent bien rétablir l’équilibre entre des acteurs radicalement opposés par la mise en place de quotas, de proratas, de pourcentages là où la moindre possibilité qu’un groupe ou une communauté l’emporte sur un autre se fait jour, c’est-à-dire partout.
Les exemples se bousculent, tant dans le déboulonnage de statues que dans les attributions de postes. Pas la peine d’en rajouter, vous observez les mêmes choses que moi, indépendamment de vos opinions en la matière. J’ai déjà ici évoqué ces sujets plusieurs fois.
Je souhaite cependant revenir sur ce qu’on met en balance sous couvert de justice.
La question est de savoir si l’origine et le genre sont préalables à toutes choses, bien avant le génie, le talent, l’instruction, si malgré les facilités qu’on a par exemple en physique nucléaire, on ne pourra pas les faire valoir parce qu’on arrive hors quotas. Et dans ce cas, que se passera-t-il ? On se lancera dans des études hors de son talent propre, juste pour trouver du boulot en prenant le risque d’une variation intempestive des quotas ? Et la société passera à côté des Mozart et autres Einstein empêchés de se singulariser dans un tel carcan.
Qu’est-ce qui compte le plus pour la société ? Que les vrais talents s’expriment dans l’intérêt général ou que chaque individu se voit conforté dans sa singularité dans son propre intérêt ?
Faut-il se hâter d’en finir avec les injustices en quantifiant toutes les relations humaines ou bien faire effort à long terme et grand courage politique sur l’atténuation et la démystification de traditions, rituels ou habitudes menant à ces mêmes injustices ? Faut-il imposer un nouveau formatage ou enseigner lucidité et tolérance ?
Comme vous l’avez compris, je suis farouchement opposé à toute relecture binaire de l’histoire et des relations humaines. Nous devons réapprendre la nuance et sortir du premier degré néolibéral qui, sous couvert de liberté en tout, véhicule une dichotomie winner/loser qui aggrave encore les inégalités en saccageant plus encore ce qui reste des notions d’intérêt général. Rien n’est tout blanc ou tout noir.
L’esclavage n’existe que parce qu’il y a des vendeurs et des acheteurs d’êtres humains, l’oppression d’un genre sur l’autre n’existe que par l’attribution des rôles dictée par les circonstances du moment et qu’on oublie de laisser évoluer au fil du temps, que la loi du plus fort n’existe que par la démission des uns et la détermination des autres.
Toutes choses auxquelles on peut s’opposer par l’éducation, l’instruction, la cohésion sociale et surtout pas par une politique de quotas qui est une autre forme d’oppression menant, non pas à une libération de contraintes, mais seulement à un changement de maitre.

L'exclusion comme système social 12 Jui 2021 13:42 #2198

Alors là,pour une bouillabaisse, c’est une bouillabaisse,
arrivé la fin de l’article ,je me suis demandé quel était le titre et le sujet,de celui ci.
C’est pas grave ,tu feras mieux la prochaine fois
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