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Source : CNIL
Bienvenue,
Invité
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Je suis régulièrement impliqué dans des discussions trahissant la difficile prise de conscience des tristes perspectives d’avenir de notre belle civilisation.
Il y a en effet une prise de conscience assez générale qui va parfois assez loin dans la pertinence du constat d’échec mais qui s’étiole ou se disperse dès qu’on passe aux mesures à prendre d’urgence pour redresser la barre. J’ai même entendu des analyses très pointues et engagées de la part de gens dont on imagine mal qu’ils puissent avoir des idées pareilles dans la description des maux qui nous frappent ! Et après, toute cette belle mécanique s’empoisse et se grippe pour ne plus accoucher que de banalités sans intérêt autre que de clore la discussion. Ça s’appelle botter en touche, je crois. Nommer la chose n’éclaire pas pour autant le débat ! Alors, quelle est cette pudeur qui nous empêche d’affronter les solutions évidentes en dehors du y’a qu’à, faut qu’on ? On a bien compris que le néolibéralisme sauvage dressait les individus les uns contre les autres dans une concurrence implacable pour ramasser quelques miettes de richesses. On a bien compris que le grand marché libre entre des mastodontes et des individus menait tout droit à leur laminage pur et simple. On a bien compris que la faim avide de privatisation n’avait d’autre but que d’enrichir encore plus ceux qui sont assez riches pour acheter le bien commun afin de vendre au prix fort des services auparavant dus à tous. On a bien compris que les services publics devaient disparaitre pour libérer toutes ces richesses sinon impossibles à accaparer. On a bien compris que rien n’a d’intérêt hors l’augmentation incessante des dividendes. On a bien compris que l’avidité et la cupidité sont les valeurs cardinales en vogue qui voient en toute forme d’humanisme une hérésie à combattre avec la plus grande énergie. Donc, cessons de tourner autour du pot, l’ennemi de l’humanité, c’est ce néolibéralisme que nous imposent ceux que notre société a éduqué à grands frais pour la servir mais qui ont changé de bord et à qui nous avons laissé la clef de la maison sans garder de double pas plus que le 06 du serrurier ! Dans un passé pas si lointain, ce néolibéralisme (qui n’est que la forme exacerbée du capitalisme dont la politique a perdu le contrôle), n’existait pas et le monde s’en portait mieux. Il a simplement fallu que son vieil ennemi collectiviste aux excès jusqu’au-boutistes s’effondre pour que le capitalisme jusque-là pondéré par de puissants contre-pouvoirs, dérape lui aussi dans un jusqu’au-boutisme d’autant plus dangereux qu’il n’a plus d’opposition, surtout pas celle des gens de pouvoir que ses promesses de facilité ont corrompu sans mal. |
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Certes Daniel
le diagnostic est posé l'ennemi est désigné...ok, c'est un progrès mais tu n'apportes pas plus de solution pratique à la fin de ton propos qu'à son début. promis, je n'achèterai pas d'actions de la Française des Jeux...mais à part ça ? |
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