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Source : CNIL

Le patronat vient de publier une « Lettre ouverte des entreprises et des entrepreneurs au Président de la République ». Par entreprises et entrepreneurs, il faut comprendre qu’il s’agit du capital.

Les capitalistes prétendent qu’ils veulent agir contre le chômage. Venant de leur part, cette préoccupation sociale surprend. En réalité, il s’agit d’une nouvelle offensive pour enrichir les plus riches et pour appauvrir les travailleurs.

Tous les mots dans leurs bouches ont un sens inverse du français ordinaire. Ce qu’ils appellent « sécurisation du contrat de travail », en français cela veut dire encore plus de précarité. La sécurisation, pour le capital, c’est de pouvoir licencier à tout moment et avec des indemnités réduites, voire pas d’indemnités du tout.

Ils demandent que le salaire indirect (celui qui n’est perçu que quand on est malade ou âgé) ne soit plus payé par les patrons mais par la collectivité. Cela serait compensé, prétendent-ils, par la baisse du chômage. Les promesses ne leur coutent pas grand-chose.

Ils demandent enfin « la facilitation des nouvelles formes d’activités indépendantes », c’est-à-dire que la sous-traitance soit généralisée pour des auto-entrepreneurs qui seront “libres” de travailler sans limites, eux et leur famille, avec une protection sociale réduite au minimum.

Le petit patronat s’est rallié au MEDEF pour revendiquer cette forte diminution des salaires. Étranglé par la mondialisation, il y voit une solution immédiate. C’est une politique à courte vue. En appauvrissant la population, il diminue encore son marché et l’activité économique. Ses maux ne viennent pas des salaires trop élevés, mais de la concurrence déloyale avec les entreprises de taille internationale qui échappent à l’impôt et qui imposent leurs conditions.

Depuis trente ans, toutes les mesures antisociales ont toujours conduit à l’augmentation de la pauvreté et du chômage, et finalement à la mise en difficulté de nombreuses petites et moyennes entreprises.

AlternativeS DémocratiqueS s’oppose à cette nouvelle offensive patronale et affirme qu’au contraire seules la sortie de la mondialisation et l’amélioration des conditions de travail et des salaires permettraient de lutter efficacement contre le chômage.

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Au moment où l’économie mondiale connait de grands spasmes, le président Hollande fait de la politique politicienne. Sa compassion affichée est froidement calculée. Il joue sur le seul terrain où il est gagnant. Soit il y a des attentats et cela lui permet de réaliser l’Union sacrée autour de sa personne. Soit il n’y en a pas et il se félicite d’avoir su les empêcher.

Il est extrêmement inquiétant que la seule stratégie du gouvernement soit celle de la tension, en ressassant jusqu’à la nausée les attentats de 2015, en montant en épingle les moindres incidents et en précipitant la France dans des conflits extérieurs.

Sous couvert de lutte contre le terrorisme, ce sont les libertés auxquelles s’attaquent les socialistes. La déchéance de nationalité est un hochet qui vise deux buts : symboliser une prétendue fermeté dans la lutte antiterroriste et masquer derrière un rideau de fumée les mesures liberticides qui bâillonnent les opposants au libéralisme.

Les libéraux n’ont qu’un but, des individus libres de toute attache sur un marché mondialisé. S’il semble si facile de jouer avec la nationalité des gens, c’est bien qu’elle ne signifie plus rien aux yeux de ceux qui édictent les lois. 

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