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L’échelle macro

Il y a maintenant 10 ans que la Crise s’est installée. Persuadés au départ qu’il ne s’agissait que d’une perturbation passagère, les citoyens de tous pays et de tous horizons ont depuis lors bien dû admettre qu’il s’agit en réalité d’un bouleversement profond, dont les causes sont à chercher dans une idéologie totale, tout à la fois philosophique, sociologique, économique, politique et historique. Seules les « experts » soutiennent l’hypothèse d’une courte dépression, sans se soucier de celles qu’ils causent chez leurs compatriotes ou de la défiance de ceux-ci à leur égard.

 

Sans pousser plus avant la métaphore météorologique - qui, soit dit en passant, brille par son actualité lors même qu’un climato-sceptique s’est fait élire président des USA - retenons-en la méthodologie et les implications, lesquelles nous invitent à adopter un regard global, donc loin du court-termisme et régionalisme ambiants. Non, la solution de la crise, ni ne réside dans les alternatives locales, ni n’est à chercher à l’année N-10.

Il y a désormais besoin d’une révolution profonde et véritable, d’un changement global et certain et ce, pas à la manière d’un Macron, soit d’un pur produit et acteur de ce système.

Si les français peinent encore à s’en rendre compte – l’élection de Fillon lors des primaires LR en est la preuve -, les citoyens de nombreux pays les ont devancés : les anglais ont voté en faveur du Brexit au printemps 2016, les américains ont élu Trump l’automne de la même année etc. Ces deux exemples démontrent une volonté de rupture radicale ; radicale étant malheureusement ici synonyme de violente.

La gauche ayant disparue depuis qu’elle s’est embourbée dans le néolibéralisme, les réactions antisystème actuelles sont effectivement portées par des idéologies tendancieuses et des individus peu scrupuleux. Face à un système qui prétend être indifférent au sexe, à la race, à la religion … car tout ce qui compte est l’individu libre sur le marché libre, les instincts de protection se muent en misogynie, en homophobie, en islamophobie …

Il y a plusieurs scenarii possibles et imaginables quant à l’avenir. Proposer une alternative viable nécessite de comprendre en amont les différentes attitudes et pour cela côtoyer le peuple, non pas d’accorder une confiance aveugle aux sondages montés de toute pièce par la propagande. Deux choses qu’ont tendance à oublier nos politiciens actuels pour s’étonner ensuite des résultats des diverses élections.

Et de même qu’expliquer ce n’est pas justifier, comprendre ce n’est pas adhérer. Il est indispensable de sortir d’une vision fixiste de la politique et de réinsuffler du dynamisme à tous les niveaux. Non, rien n’est irréversible, rien n’est tombé du ciel, rien ne se transforme seul en terme de décisions politiques. L’immobilisme n’est bien souvent que la conséquence de l’indifférence.

Quelles sont les attitudes majeures face à l’écroulement du système ?

Premièrement, il y a ceux qui réclament une radicalisation. Toujours plus d’austérité, toujours plus d’Ubérisation, toujours plus de compétitivité, toujours plus de « liberté », mais surtout, toujours plus de sécurité ! Voilà leurs mots d’ordre. Ils réussissent à nous faire prendre des vessies pour des lanternes en dévoyant les idées de liberté, d’égalité et d’adaptabilité. Ils s’enfoncent dans des incohérences en durcissant les mesures liberticides d’un côté, en détruisant les droits sociaux restants de l’autre. Il y a bel et bien une contradiction fondamentale entre liberté en tout et sécurité partout. Le citoyen est libre de choisir la forme de précarité qui lui sied le mieux, pourvu que sa race et son sexe correspondent, pourvu qu’il accepte la surveillance et le fichage constants.

Deuxièmement, il y a ceux qui se contentent de la situation actuelle voire dénient le problème. Abreuvés d’individualisme, ils pensent être protégés dans la mesure où ils ne ressentent pas les effets de la crise sur leur vie quotidienne : ils continuent à partir en vacances, à se rendre au restaurant de temps en temps, à s’acheter un nouveau téléphone portable à l’occasion. Aveuglés par le court-termisme, ils tentent d’assurer un avenir prospère pour eux-mêmes et leur descendance et consentent à quelques légers sacrifices pour payer les études des uns ou protéger les écosystèmes des autres. Corrompus par le présentisme, ils satisfont leur conscience politique en participant à quelques batailles défensives pour conserver leur retraite ou leurs congés payés, tout en soutenant quelques initiatives locales, et se surprennent parfois à affirmer que la crise est désormais derrière nous. En somme, ils ont peur d’affronter la réalité lors-même qu’il n’y a pas d’autre moyen d’agir sur elle.

Troisièmement, il y a ceux qui soulignent les inégalités patentes du système mais acceptent l’idéologie inhérente à ce même système. Ces derniers abondent dans les médias et satisfont la bienpensance ambiante. Leurs critiques nous séduisent voire nous animent mais demeurent fragmentaires. En effet, elles maintiennent les fondements de l’ultra-libéralisme, à savoir l’ultra-individualisme, et s’attaquent seulement à quelques pans épars du problème. Mises ensemble, elles constituent un programme digne des Syriza et autres Podemos, montrant par là leur inanité et inefficacité, si ce n’est leur dangerosité. La rupture globale que bon nombre de personnes appellent de leur vœux ne saurait s’opérer à partir d’une somme de propositions incohérentes entre elles et cultivées sur un terreau toxique. Autrement dit, beaucoup de critiques, peu de solutions ; le dogme n’est jamais attaqué car il est considéré comme une vérité révélée.

Quatrièmement, il y a ceux qui sont exclus de la société et qui ne voient alors aucun problème à la détruire. Privés de perspectives d’avenir et réduits à une existence sans attaches ni valeur, ils sont à la recherche d’un sens à leur vie, ils réclament un cadre rassurant ou une structure forte et ce, quels qu’ils soient. Séduits par les fondamentalismes de tous genres et exaltés par des fanatismes spiritualo-religieux, ils s’oublient dans le terrorisme. Or trop d’individu tue l’individu ; l’année 2016 en a largement fait les frais au travers des multiples attentats de par le monde.

Cinquièmement, il y a ceux qui se trompent de combat. Comme les précédents, ils sont en quête d’un cadre rigide mais puisent leur inspiration dans une pensée réactionnaire et discriminante. Le néofascisme est leur guide, le néolibéralisme leur ennemi. Ils confondent toutefois libéralisme économique et libéralisme politico-philosophique. Si le premier est à l’origine de la décadence actuelle, le second est à la base de nombreuses émancipations sociales. Le lien entre les deux n’est pas fondamentalement indispensable ni-même clairement défini. Cette posture – aujourd’hui portée par l’extrême droite - a l’avantage d’être facile en ce qu’elle est manichéenne. Elle n’est cependant ni souhaitable, ni constructive ; tout est dans la nuance.

Quelle est l’attitude qui nous semble constructive face à l’écroulement du système ?

Fort de son fonctionnement démocratique et de sa pensée collective, le parti AlternativeS DémocratiqueS (AD) nous a montré, non seulement l’importance, mais aussi la nécessité de l’esprit critique et systémique ainsi que de l’engagement politique. Si l’on considère que l’individu est un atome isolé, alors on en fait une coquille vide. En revanche, si l’on admet la dimension sociale de l’existence individuelle, alors on permet aux citoyens de trouver une place dans leur société et un sens à leur vie.

L’individu est au croisement de multiples relations. Il appartient à divers groupes de différentes échelles : le groupe-famille, le groupe-société et une myriade d’autres groupes entre les deux. De même qu’une personne sans famille a des chances de se sentir déracinée, de même un être sans société est déboussolé.

L’enjeu est de trouver l’équilibre entre le moi individuel et le moi social ; chacun ne devant pas éclipser l’autre, ce afin d’éviter le double écueil de l’ultra-libéralisme et du totalitarisme. D’où la nécessité de l’engagement politique. D’où l’échec d’une part des alternatives conservant l’idéologie individualiste et d’autre part des néofascismes détruisant la spécificité individuelle au profit de la structure sociale.

L’enjeu est autrement dit de s’adapter aux tensions entre individus et société et de donner une cohérence à cette rivalité ou diversité. C’est tout le sens de l’action politique, laquelle se décline sous plusieurs aspects : la culture, l’éducation, la santé, le travail, l’économie etc. … La société et l’individu doivent être dans une relation de protection réciproque dans tous les domaines car nous gageons qu’une vie épanouie et heureuse dépasse la simple survie.

L’échelle micro

Certains pensent que nous formons une belle bande d’hurluberlus. Admettons. La dérision est toutefois bien souvent une arme de défense contre ce qui fait peur ou qui déplait. Permettons-nous de citer, à nouveau, ce mot de Pierre Desproges : « nos ennemis sont des cons. Ils croient que c’est nous l’ennemi, alors que c’est eux ! ». A bon entendeur … Bien sûr, ce n’est pas à 4, 6 ou 20 que nous changerons le cours de l’Histoire et la face du monde. Mais loin de nous l’idée de poursuivre cette fâcheuse tradition française de l’homme providentiel, dans laquelle s’inscrivent tous les politiciens actuels et dont les médias parlent comme d’une fatalité. En effet, à 4, 6 ou 20, nous paraissons dérisoires. La dérision est cependant tout autant une arme d’attaque permettant, d’une part, d’investir les vides et les incohérences produits par l’idéologie ultra-individualiste et son armada d’ultra-libéraux, d’autre part, d’insuffler un élan démocratique, ce en rappelant que l’individu n’est rien sans société mais que la société n’est aussi rien sans individus et, à ce titre, que chacun a un rôle à jouer. Tout est question de jeu, et aux deux sens du terme.

D’autres prétendent que nous constituons une secte. Supposons. Si la figure de Rémi a pu s’apparenter à celle d’un gourou, tant son influence et son investissement en ont fait une personnalité centrale, eh bien faisons du vide vertigineux laissé par sa disparition une force, à l’instar des taoïstes. Rappelons malgré tout la définition du mot « secte » selon le premier dictionnaire venu : « groupement religieux clos sur lui-même et créé en opposition à des idées et à des pratiques religieuses dominantes ». AlternativeS DémocratiqueS revendique la seconde partie de la définition tout en déplorant la première. Cela fait-il de ce mouvement une secte ? Non, car toute secte exige un fondamentalisme dans l’action quand nous prônons la juste mesure et la nuance dans ce monde binaire ; toute secte défend une Vérité unique et absolue quand nous admettons la variété des opinions, insistons sur la nécessité de la diversité pour parvenir à la pensée collective, analysons la construction des discours et des vérités ; toute secte relève d’une conversion personnelle digne d’un repli sur soi quand nous préférons l’engagement individuel à la fois gage et fruit de l’ouverture à autrui, toute entreprise de construction de l’individualité passant inéluctablement par l’altérité.

Faisons d’ailleurs un petit tour d’horizon des activités du parti afin de mettre à l’épreuve son dynamisme et sa cohérence.

- Le cinéclub Le cinéclub demeure probablement le dispositif le plus attirant et couronné de succès du parti, quoique ne relevant pas véritablement de l’activité d’AD. Il nous démontre à chaque fois l’importance de l’art (en l’occurrence cinématographique) pour le développement de la pensée et de la discussion, ainsi que la nécessité de se projeter dans des situations concrètes (fictives ou réalistes) pour incarner des idées. La cadence quasi mensuelle des séances prouve l’engouement des participants et l’importance de la régularité.

- Le criticlub A l’instar du cinéclub, le criticlub remporte un petit succès. Régulièrement, des séances sont organisées pour discuter des documents pour la plupart historiques et cinématographiques. Peut-être pourrions-nous souhaiter la diversification des supports et des contenus ainsi que la multiplication des participants, mais satisfaisons-nous de la réussite de ce dispositif.

- Le dramaclub Il n’y a pour l’heure eu qu’une seule et unique séance du Dramaclub en 2016 à l’occasion de la pièce T.I.N.A jouée à Givors. Cet événement a été à la fois un succès et un échec. Un succès car il a suscité l’engouement des participants et la possibilité de faire connaître le parti en prenant part à une discussion publique. Un échec car il n’y a pas eu d’autres éditions, le metteur en scène n’a pas donné suite à notre invitation à poursuivre le débat et la réflexion, personne n’a contacté le parti après cet événement. Souhaitons-nous renouveler l’expérience ? Peut-être que oui, tout en assumant le caractère probablement annuel de la chose, en persévérant à faire connaître le parti tout en nous abreuvant de nouvelles connaissances et de créations théâtrales, en nous souvenant qu’une caisse commune a été créée (quoique non alimentée pour le moment) à ce propos.

- Les commissions Chaque année le sujet des commissions revient sur la table et chaque année nous faisons le même constat. Le travail des commissions à proprement parlé a été interrompu par manque de temps et de participants. Souvenons-nous cependant du travail formidable et efficace réalisé par la commission « Education obligatoire » et gardons en mémoire l’importance de la répartition des tâches sous l’égide d’un projet global commun. Peut-être réussirons-nous alors à faire revivre les commissions un jour si telle en est la nécessité et la volonté.

- Les formations Depuis la formation en économie animée par Rémi il y a plusieurs années, aucune autre formation n’a été mise en place. Ce dispositif demeure toutefois intéressant et pourrait peut-être se voir développé afin d’inviter les volontaires hors AD à se familiariser avec notre usage de la pensée critique, à approfondir les connaissances est les compétences des membres d’AD dans divers domaines (par ex formation à la pensée philosophique, formation sur le fonctionnement d’une armée, formation à l’actualité artistique, formation à la pratique des jeux de rôle … ; que d’outils utiles et innovants). Par ailleurs, la pensée collective du parti a butté à plusieurs reprises sur des questions par manque de connaissance. Pensons notamment au thème des relations internationales lors de la réunion de Janvier 2017. La réflexion s’étant trouvée dans une impasse, le problème a été ajourné ou carrément mis de côté. Les formations pourraient probablement remédier à cela. Régulièrement, tout membre du parti le désirant et le pouvant pourrait, soit partager des connaissances déjà acquises, soit se charger de faire une petite enquête pour réunir assez de connaissances et de ressources à partager dans un second temps.

- Les colloques A l’heure actuelle, un seul colloque a été organisé par AD sur le thème de l’individualisme en Janvier 2016. Bien qu’ayant rassemblé peu de participants, il s’est révélé être un moment extrêmement enrichissant et une étape indispensable pour approfondir certains points. Ce dispositif pourrait compléter celui des formations et s’adresser, à l’image de celles-ci ou des cinéclubs, à un cercle élargi de personnes membres ou non du parti. Ce pourrait avoir lieu de manière annuelle pour permettre une bonne communication et éviter les surcharges d’emplois du temps. De plus, rappelons que nous avons toujours un thème sur le feu, à savoir la virtualisation.

- Les réunions Romarin De nombreuses réunions informelles ont lieu par l’intermédiaire des membres d’AD sans toutefois revêtir le cadre et la dénomination de réunion Romarin. L’avantage de ce dispositif demeure dans le caractère anticipable, organisable et publiable sur l’agenda du parti, l’inconvénient réside dans l’effroi ou le désintérêt que suscite une réunion politique annoncée comme telle. Peut-être devrions-nous, en tant que membre d’AD, assumer un rôle de catalyseur de la pensée et d’organisateur d’espaces de discussion, ce afin de faire vivre la pensée collective et l’activité du parti.

- Les ateliers Actuellement 2 ateliers sont mis en place.

D’un côté, il y a la 2ème édition de l’étude du Capital de Marx. Quoique complexe et impressionnante par sa taille, cette œuvre ne cesse de nous frapper par son actualité et sa pertinence. C’est un travail fastidieux et laborieux que de l’étudier dans le texte ou bien à la lumière de David Harvey, mais c’est un travail fructueux. Cela nous a déjà permis d’analyser la vacuité du revenu universel proposé par Benoît Hamon. Demeurent toutefois 2 inconvénients. D’une part, le fonctionnement de l’atelier exige une présence régulière et exclue par là même nombre de participants éventuels ; à moins de réussir à mener de front les ateliers et la discussion sur le forum interne. A réfléchir. D’autre part, la lecture suivie n’a de cesse de nous suggérer de futures pistes de réflexion et nous déconcerte quant à savoir par où, qui, quoi commencer. Cette étude ne doit pas demeurer à l’état de lecture savante et académique mais doit en revanche réussir à se métamorphoser en un outil critique.

D’un autre côté, il y a le questionnement sur « Névrose et dépression ». Instigué par Rémi dès le Congrès de l’année 2016, il a mis beaucoup de temps à se mettre en place et à trouver une direction. Actuellement, c’est chose faite et, à nouveau, le travail à venir nous fascine par son ampleur et sa portée. Il exige de repartir de nombre de présupposés et de démêler les nœuds problématiques dans un regard à la fois analytique et synthétique. Il nous amène à prendre des directions nouvelles et à organiser notre pensée de manière originale, ce qui sera probablement un plus pour la publication sur le site.